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Laine de mouton farceur !

Aujourd’hui petit clin d’œil à Maumau et ses moyens mnémotechniques incroyables ! Le week-end était consacré à la pose de laine de bois (provenant des fameux moutons farceurs !)

Le principe est simple : faire rentrer une grande plaque d’1m20 par 57cm entre 2 chevrons (poutres verticales) espacés de 46cm en moyenne. Une bonne scie circulaire sur rail et une bonne dose de temps à passer plus tard et les rampants sont isolés en 2 couches croisées (10cm + 12cm en décalant les jonctions de plaque.

Malgré la journée passée lundi et l’aide du grand Maumau, samedi soir le chantier était bien avancé mais pas totalement terminé. Retour et fin dimanche après-midi. 5h de travail à 2 pour découper et poser les 6 dernières plaques mais surtout le film frein-vapeur et ses tasseaux (pour le soutenir et créer un vide pour les gaines électriques et un petit complément d’isolation). La visseuse a tourné à plein régime et les batteries ont eu du mal à suivre la cadence. La casse du deuxième embout de vissage (torx 25) a définitivement mis fin à ce bel après-midi. (j’ai fini en 1h le lendemain)

En images, cela donne ça !

Gouttières et enduit

Lundi (28 juin) nous étions de retour à 3 sur le chantier pour attaquer l’isolation des rampants en laine de bois. Je reviens dessus dans la note suivante et je passe donc à la suite. Aujourd’hui mardi 29, les gouttières ont été posées (les descentes viendront un peu plus tard) et la première couche de l’enduit réalisée. La maçonnerie en brique monomur nous impose de faire mieux et moins rapide que la tendance actuelle, à savoir : 1 première couche de dégrossi qui sèche quelques semaines puis une deuxième couche d’enduit « gratté fin » à la couleur définitive (« ton pierre » chez nous).

Cela donne ça pour l’instant :

Menuiserie et menuiseries…

Ce week-end (vendredi 25, samedi 26 et dimanche 27 juin 2010) gros programme !

Vendredi matin, nous avons réceptionné les menuiseries mixte (pin / Alu bleu ral 5003), le parquet en sapin du nord pour le plancher bois de l’étage et la laine de bois (isolation des rampants) pour ne pas manquer de travail en cas d’efficacité extrême.

Antonin et Papy Philippe étaient venus me prêter main forte (et beaucoup de matériel et de savoir-faire !). Vendredi soir, après l’échec du marteau pneumatique et l’élaboration du plan B 100% manuel, je disposais quand même de largement assez de plancher pour m’installer un sac de couchage et garder mes fenêtres au chaud.

Bivouac sur place vendredi soir donc et samedi matin, presque de bonne heure, les 2 compères étaient de retour en compagnie de Fabien, de son pistolet à silicone tout neuf, de ses cales et de ses techniques de pose. Grosse matinée à 4 paires de bras sur les baies vitrées (2m d’un seul tenant pour la baie fixe, 2,80m en 2 morceaux pour la centrale et quelques kilos à manœuvrer), disque diamant pour encastrer les pattes de fixation dans la brique monomur, chevilles adaptées de 8/120mm, etc). J’arrête là la technique mais je ferai sans doute une page spécifique pour expliquer. L’après-midi, avec les fenêtres plus raisonnables, Antonin et moi sommes retournées à nos clous et découpes.

Dimanche même programme (il restait 4 petites fenêtres à poser, encore un peu plus d’étanchéité à faire et des accessoires à finaliser) et en fin d’après-midi nous étions 4 pour presque terminer le parquet. Bref, un bon gros week-end efficace. Merci au 3 paires de bras et quelques neurones supplémentaires, cela nous a bien servi !

La grosse galerie d’image est ici :